Au-delà d’un certain seuil, d’une certaine durée, on n’est plus rien, à part ce corps qui souffre.
Plus d’idées, de patience, d’envie de se marrer.
Quand on a vraiment mal, on n’a même plus d’endroit où pouvoir se réfugier.
On est exproprié.
Marie-Sabine ROGER.
Bon rétablissement