Ce mois-ci j’ai le plaisir de me joindre au Club des Blogueurs Lecteurs de Cléophis.
Le thème : le plus vieux livre de ma PAL
Alors là, premier challenge !
En fait, je n’ai pas vraiment une PAL. J’ai une liste sous Babelio et quelques livres chargés sur ma liseuse. Je n’ai pas osé aller piocher dans le grand fouillis des livres disponibles sur notre PC : il y en a autant pour Papaidi que pour moi et j’ai eu peur de passer plus de temps à choisir qu’à lire !
Finalement, j’en ai profité pour aller farfouiller dans ma bibliothèque, la vraie, celle des livres papiers. Elle se meurt depuis que j’ai découvert le plaisir (et la légèreté !) du livre électronique – d’autant qu’elle avait subi une cure d’amaigrissement sévère au moment de notre déménagement ^^ mais je savais qu’il y avait là-dedans quelques « non lus » pleins de poussière !
Deuxième exigence : lire un ouvrage de femme.
Je viens de terminer Un lieu à soi de Virginia Woolf dans une nouvelle traduction de Marie Darieussecq (ouvrage incontournable !) et j’en ai tiré – entre autres précieux conseils – le besoin de consacrer quelques mois de lecture à l’écriture féminine exclusivement.
Mon choix s’est donc porté sur cet ouvrage :

En me creusant la tête, j’ai fini par me souvenir d’où vient ce bouquin… Un cadeau de mon père après que je lui ai offert un autre ouvrage sur un bourreau : Dieu et nous seuls pouvons de Michel Folco. [Au passage, d’ailleurs, cette lecture paisiblement abjecte est l’un des meilleurs livres que j’ai jamais lus. Je l’ai conseillée à mainte reprises et en retour, mon père m’avait orienté vers cette autrice célèbre pour ses polars médiévaux.]
Nous voilà donc avec un bourreau : Justice de Mortagne. Celui-là est sensible et séduisant trimbalant de page en page le piquant du bad boy au cœur tendre. J’avoue, j’en suis tombée amoureuse !
Le bourreau est pris d’un sentiment tenace qui s’apparente à des remords et se met en tête d’éclaircir ses doutes sur la culpabilité de ses victimes… Plusieurs enquêtes se mêlent donc et nous tiennent en haleine jusqu’au bout.
Je déplore juste quelques bizarreries dans l’intrigue (je n’ai pas trouvé convaincante son implication dans les enquêtes de son chef) et les trop nombreuses notes qui, si elles confirment l’érudition de l’autrice, achoppent à la lecture.
J’ai tout de même avalé les 400 et quelques pages en à peine plus d’une semaine (et pour ce faire, j’ai inauguré la lecture en marche entre la station de métro et mon bureau ^^ j’ai gagné ainsi une vingtaine de pages par jour travaillé 😉
Aucune hésitation, je vous le conseille et d’ailleurs, l’auteure est entré en force dans ma PAL avec la saga de la Dame sans terre et le deuxième tome de mon bourreau préféré 😉
Bonne lecture !
C’est intéressant comme genre, je n’ai jamais lu de polar médiéval! Merci pour ta participation. 🙂
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Merci pour ton rendez-vous 😉
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Un polar médiéval, quelle bonne idée, merci 🙂
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Avec plaisir 😉
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Avec mon bol, si je lis en marchant, je prends un poteau !!!
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Je suis pas passée loin de me prendre un bus ^^
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On croirait pas que la lecture puisse être une activité dangereuse !
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😂
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Auteure ou autrice ? Personnellement je préfère le premier substantif
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Je crois qu’on peut dire les deux tant qu’on évite « auteur » ^^ Sinon, il me semble que « autrice » est la forme correcte mais je ne suis pas spécialiste… c’est vrai que « auteure » est plus fluide à l’utilisation mais quasi inaudible dans une conversation
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C’est une auteure que j’apprécie, je prends note.
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As-tu d’autres ouvrages d’elle à me conseiller ?
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Merci pour ce partage, je le note sur ma liste. A voir si ma biblio le propose.
Bonne journée
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Je te le souhaite, c’est une bonne lecture !
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